Auteur : J. K. Rowling & Jack Thorne & John Tiffany
Éditions : Little, Brown
Genre : Théâtre
Année de sortie : 07/2016
Nombre de pages : 330
Prix en grand format (environ) : 16 € (anglais) et 21 € (français)
Prix en petit format (environ) : /
Synopsis : «The Eighth Story. Nineteen Years Later.
Based on an original new story by J.K. Rowling, Jack Thorne and John Tiffany, a new play by Jack Thorne, Harry Potter and the Cursed Child is the eighth story in the Harry Potter series and the first official Harry Potter story to be presented on stage. The play will receive its world premiere in London’s West End on July 30, 2016.
It was always difficult being Harry Potter and it isn’t much easier now that he is an overworked employee of the Ministry of Magic, a husband and father of three school-age children. While Harry grapples with a past that refuses to stay where it belongs, his youngest son Albus must struggle with the weight of a family legacy he never wanted. As past and present fuse ominously, both father and son learn the uncomfortable truth : sometimes, darkness comes from unexpected places.
La huitième histoire. Dix-neuf ans plus tard.
D'après une nouvelle histoire originale de J.K. Rowling, John Tiffany et Jack Thorne, la nouvelle pièce de théâtre de Jack Thorne, Harry Potter et l'Enfant Maudit est la huitième histoire de la saga Harry Potter et la première histoire de Harry Potter officiellement destinée à la scène.
Être Harry Potter n’a jamais été facile et ne l’est pas davantage depuis qu’il est un employé surmené du Ministère de la Magie, marié et père de trois enfants. Tandis que Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, son plus jeune fils, Albus, doit lutter avec le poids d’un héritage familial dont il n’a jamais voulu.
Le destin vient fusionner passé et présent. Père et fils se retrouvent face à une dure vérité : parfois, les ténèbres surviennent des endroits les plus inattendus.»
~ Résumé d’après livraddict.com
Mon avis :
«Dès que j'ai appris que Harry Potter aurait une suite, je me suis promise de l'acheter et de le lire en anglais. Je n'ai pas eu le temps d'aller à la librairie que ma petite sœur l'a eu pour son anniversaire. Elle a tenu à le lire en premier et j'ai donc du attendre avant de pouvoir découvrir ces nouveaux personnages.
« La bravoure n'excuse pas la bêtise. »
En points négatifs, je dirais que j'ai trouvé que cette pièce de théâtre de trois cents pages ne faisait pas forcément le poids face aux livres initiaux. J'avoue en avoir peut-être un peu trop attendu, mais cela ne m'a pas empêché d'en profiter un maximum.
Je vais donc passer aux points positifs de ce livre, parce que malgré tout je l'ai beaucoup aimé. Tout d'abord, parce que je suis replongée dans l'univers de ces sorciers que j'aime énormément. Cela m'avait particulièrement manqué puisque ce sont les livres de J. K. Rowling qui ont bercé mon enfance.
Mais ensuite, j'ai beaucoup aimé la relation qu'exerce Albus avec son père. Parce que oui, Harry est peut-être un adulte, cela ne veut pas dire qu'il est parfait et que tout va bien dans sa vie. Au contraire, je trouve que le fait qu'il fasse des erreurs, qu'il s'en veuille, qu'il ne comprenne pas, qu'il se trouve, cela l'a rendu plus humain, et donc par là, plus réel.
Enfin, j'ai bien aimé les nouveaux personnages. J'avoue que Albus m'a énervé plus d'une fois et je l'ai trouvé très injuste. Mais comme pour son père, qu'il soit égoïste m'a plutôt plu. C'est au niveau du personnage de Scorpius que je vais m'arrêter. C'est vraiment le genre d'ami que tout le monde aimerait avoir. En effet, il reste loyal, qu'importe ton humeur, ce que tu vas lui dire, ce qui pourrait le blesser, et ce que tu fais. Mais en plus, comme Albus il est rejeté par les autres. Tout cela à cause d'une petite rumeur que personne n'arrive à faire taire.
« Harry, il n'existe pas de réponse parfaite dans ce monde d'émotions et de désordre. La perfection est hors de portée de la magie. Dans chaque instant rayonnant de bonheur, il y a cette goutte de poison : la conscience que la douleur reviendra. Pour une humain, souffrir, c'est comme respirer. »
Mais ensuite, j'ai beaucoup aimé la relation qu'exerce Albus avec son père. Parce que oui, Harry est peut-être un adulte, cela ne veut pas dire qu'il est parfait et que tout va bien dans sa vie. Au contraire, je trouve que le fait qu'il fasse des erreurs, qu'il s'en veuille, qu'il ne comprenne pas, qu'il se trouve, cela l'a rendu plus humain, et donc par là, plus réel.
« L'amour rend aveugle. Tous les deux, nous avons essayé de donner à nos fils non pas ce dont ils avaient besoin, mais ce dont nous avions besoin. Nous étions si occupés à réécrire notre propre passé que nous avons saccagé leur présent. »
« Tu
fais peur quand tu es de bonne humeur. »
En conclusion, je vais dire que cette pièce de théâtre est juste un petit plus dans l'histoire de Harry Potter. Ceci permet de prolonger le rêve et d'en savoir plus sur le devenir des personnages. Mais par dessus tout, c'est un livre qui se lit très rapidement, même en anglais et qui plait facilement. Les personnages y sont attachants, et même si l'intrigue n'est pas forcément très pertinente à certains points, on s'en fiche.
Une bonne lecture»
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